Compostelle pour les vieux

« Ah, Compostelle ! Je rêve de le faire ! Mais à mon âge, ce n’est pas sérieux. »

Depuis son premier pèlerinage à plus de 70 ans, Daniel s’est toujours promis qu’il témoignerait. Son but est des plus simples : tendre la main aux nombreux seniors qui aimeraient eux aussi « faire » Compostelle !

 Avant-propos

1.Mais d’abord, pourquoi Compostelle ?
2.Halte aux malentendus !
3.Où je suis victime de ma c…
4.« Si j’aurais su, j’aurais pas venu »
5.Où j’observe mon pauvre corps informe…
6.Où je fais un peu d’histoire…
7.Où mon médecin reste plutôt sceptique vu mon âge…
8.Où je mesure mieux les 1 600 kilomètres qui m’attendent
9.Struggle for life
10.Enfer 1.0
11.J’arrête, j’en peux plus !
12.Où je commence enfin à accepter mon âge…
13.Mauvaise rencontre
14.Où Compostelle rime aussi avec bagatelle…
15.Où mon vieux corps me fait coucou…
16.Où les hommes âgés doivent éviter le lit d’en haut…
17.Où je deviens un « Jacquet »
18.Que celui qui ne s’est jamais perdu lève la main…
19.Où je reviens provisoirement à la maison…
20.Où je repars, mais accompagné…
21.¿ Se habla español ?
22.Et déjà, la fin approche…
23.Aujourd’hui n’est pas une journée comme les autres…
24.Quand le « Golem », c’est vous…
25.Et soudain, une larme sur la joue…
26.En route vers le dernier Chemin…

Parti à pied vers Saint-Jacques-de-Compostelle un beau jour d’été, à 1 600 km du Puy-en-Velay, Daniel a désormais, à 80 ans passés, plusieurs milliers de kilomètres sous ses semelles. Mettre les chaussures de marche et partir, c’est un peu sa devise. Pour lui, pas question de performance. Il marche sur des sentiers de randonnées, sac au dos, des jours durant, bravant les géographies, les intempéries, les douleurs, les résistances du mental et ses peurs. Il fait sien l’esprit du chemin et sa spiritualité.

Son récit est une invitation à reprendre son pouvoir sur le temps et sur son corps, à entrer en connexion avec sa nature profonde, et les autres, cette communauté de pèlerins pareille à aucune autre.

Alors si Daniel a pris la route, pourquoi pas vous ?